hersent
Messages : 15681 Date d'inscription : 17/10/2010
| Sujet: Flash28 - nuit du 2 au 3 mars 1460 - - TOP brigandage - entre Langres et Dijon, noeud 65 Sam 3 Mar - 14:58 | |
| Faits : Flash28 - nuit du 2 au 3 mars 1460 - - TOP brigandage - entre Langres et Dijon, noeud 65Chef d'inculpation : [TOP] Brigandage *Ville : Langres Enquêteur : Hersent, Prévôt de ChampagneVictime(s) :FFlegrand Suspect(s) : Flash28Témoin(s) : Lieu : Entre Langres et Dijon Obervations complémentaires : est actuellement sur un noeud Preuves : - Citation :
- 03-03-2012 04:04 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Flash28 et de Nik .
03-03-2012 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Flash28 et de Nik (coefficient de combat 10), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ. Témoignages : - Citation :
- Bonjour, me rendant de Langres à Dijon, j'ai été victime de brigandage, par un groupe de deux hommes, Nik et Flash28, ils m'ont dérobé de plus de cent écus, d'une barque, et de quelques pains ....
Je porte donc plainte contre eux, pour obtenir remboursement .... Suspects :Flash28Lien dossier : https://institutionchampagne.forumactif.com/t4667-flash28-nuit-du-2-au-3-mars-1460-top-brigandage-entre-langres-et-dijon-noeud-65#115221Hersent, Prévôt de Champagne | |
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hersent
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| Sujet: Re: Flash28 - nuit du 2 au 3 mars 1460 - - TOP brigandage - entre Langres et Dijon, noeud 65 Jeu 8 Mar - 21:44 | |
| - FFlegrand a écrit:
- ( J'ai été malade, donc le temps a un peu passé depuis ....)
Servant la Champagne en sa qualité de marchand ambulant, FFlegrand se vit confier une nouvelle mission. Il se devait pour cela d’attendre à Langres les autres marchands ambulants. Il y resta une semaine, puis deux … On lui dit enfin que le convoi arrivait ; l’attente n’avait pas été inutile, c’est déjà cela. Hélas, ayant festoyé pour fêter l’arrivée du convoi, il s’endormit peu après en avoir vu ses membres. Il dormait si bien que ses compagnons n’osèrent pas le réveiller, après tout, ils étaient suffisamment armés et nombreux pour faire face à la recrudescence récente des bandits de grand chemin. Au petit matin, FFlegrand se réveilla en sursaut, il reprit peu à peu conscience, et chercha dès lors, en vain ceux qu’il devait accompagner. Hélas, ils étaient partis. Il envoya donc un pigeon pour dire qu’il partait à leur suite et pria qu’il attende, sa présence pouvait peut être leur servir ? De Langres, il courut sur les chemins pour aller jusqu’à Dijon. Il était armé d’une épée et d’un bouclier, il n’avait peur de rien. Il arriva en Bourgogne, terre réputée sûre, avec son armée invincible et fort bien organisée, quoiqu’il avait ouï quelques révoltes récentes ayant abouties. L’hydre avait encore sévit. La nuit tombait, la barque qu’il portait et qu’il comptait vendre sur son chemin lui pesait, il se décida –hélas- donc de se reposer quelques instants. Un e voix fort le héla : « La bourse ou la vie ? » Ne sachant se rendre devant l’ennemi, il préféra crier : « Jamais ! Je meurs, mais ne me rends pas ! » Il avait déjà sorti son épée de son fourreau, tenait dans sa main gauche son bouclier et se préparait au combat. Seul, il avait hélas, trop peu de chances, son assurance le perdit. Au bout de quelques instants, sortant des fourrés, deux hommes apparurent. Il ne connaissait pas leurs noms -qu’il apprit par la suite- mais leurs mines et leurs dégaines le repoussaient déjà. Ils étaient tous deux armés. Ils paraissaient plus forts que lui, beaucoup plus forts. Sa figure pâlit de suite, il voyait bien hélas qu’il ne pourrait pas triompher d’eux. Il leur demanda de se battre loyalement, ce qu’ils firent, ainsi il ne se battit que contre l’un des deux, mais avec l’entraînement qu’il avait, sa résistance fut brève, désarmé, il ne savait plus que faire … Ils durent convenir ensemble que sa prestation désastreuse les avait servis, car ils ne lui ôtèrent point la vie ; ils l’allégèrent seulement de ses vivres, sa bourse et de ses objets. Quelle idée que de se balader avec autant ? Une centaine d’écus, une barque, quelques pains, voilà sa fortune dérobée ! Et dire qu’il avait déjà été victime de brigandage voici près d’un mois déjà. Le sort s’acharnait il contre lui ? sans nul doute. Du moins, il en faisait les frais. Hé oui, il ne l’avait pas dit, mais à peine arrivé à Dijon, mourant de faim, l’allure qu’il avait et sa manière de se mouvoir l’avaient faits prendre pour un vagabond et il avait ainsi été jeté en prison sans nul jugement ni procès … Mais cela, c’est une autre mésaventure !
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